Le groupe Volkswagen ne cesse d'être au centre de toute la presse internationale depuis 2015 et l'éclatement du désormais célèbre scandale DieselGate. Entre procès en tous genres partout dans le monde, amendes, réparations et problèmes, le groupe a fortement perdu de la valeur et a vu son image être écornée. Du coup, il n'a d'autres choix que de se lancer dans le plus gros plan de suppressions d'emplois de son histoire.

Le scandale du DieselGate et les dangers pour la planète liés aux énergies fossiles semblent avoir marqué les esprits. Alors que le public tente de convertir à une consommation plus "verte", les constructeurs l'ont bien compris et ont présenté quasiment tous, au Mondial Auto 2016 de Paris qui s'est ouvert jeudi 29 septembre 2016, une stratégie tournée vers l'électrique. A commencer par le principal concerné par le DieselGate, Volkswagen.

Les investisseurs se sentant floués réclament 8,2 milliards d'euros.

Le constructeur californien joue gros avec ses nouveautés.

Histoire, ancrage, discrétion et tradition semblent ne plus être l’apanage des Grandes Maisons de luxe françaises. C’est sur ces mêmes valeurs que se fonde également l’identité d’une entreprise comme Oberthur Fiduciaire, champion mondial de l’impression de billets de banque et véritable ambassadeur de la French Touch à l’étranger. Retour sur l’épopée de cette « Maison » traditionnelle française dont l’ADN fait encore aujourd’hui le succès à l’international.

La rumeur d'un plan social chez Cisco commençait à devenir persistante dans la presse spécialisée. Si personne ne savait exactement combien d'emplois le groupe américain allait détruire pour réduire ses coûts et faire remonter ses marges, cette éventualité semblait être de plus en plus une réalité. Le voile sur le plan social a été levé mercredi 17 août 2016 lors de la publication des résultats annuels du groupe.

L'affaire du DieselGate qui a éclaté aux Etats-Unis est loin d'être terminée. Volkswagen, principal concerné par le scandale des logiciels truqueurs que le groupe a installés sur ses moteurs 2 litres diesel pour tricher aux tests des émissions polluantes, commence à peine à connaître le coût de sa fraude. Le volet civil de l'affaire s'est conclu avec un accord amiable dont le montant dépasse de loin celui annoncé.