France
cc/flickr/U.S. Embassy Jakarta
Cette année 2014 les Etats-Unis vont réussir à faire ce que la France n’arrive pas à atteindre : faire passer le déficit public en dessous de 3%. Le déficit devrait en effet s’établir aux alentours de 2,9% dès cette année et ne pas augmenter jusqu’en 2018.
Après quoi, les choses se corseraient du fait du vieillissement de la population, et le déficit devrait être de 4% entre 2022 et 2024. Malgré cette hausse, il reste largement en dessous des niveaux du lendemain de la crise : le déficit avait atteint 10% du PIB en 2009.
Pour 2014, le déficit budgétaire des Etats-Unis devrait être de 506 milliards de dollars, soit 170 milliards de dollars de mois que le déficit de 2013.
La crise économique de 2008 a eu toutefois un gros impact négatif sur la dette publique des Etats-Unis. La dette fédérale a atteint 74% du PIB et devrait atteindre 77% du PIB en 2024. Par rapport à 2007, la dette américaine a doublé.
Mais la croissance prévue par le Bureau du Congrès pourrait être la solution. Bien que cette année la croissance ne devrait être que de 1,5%, dès 2015 elle devrait atteindre 3,4% pendant quelques années avant de s’établir à un rythme de croisière de 2,2% par an entre 2018 et 2024.
Après quoi, les choses se corseraient du fait du vieillissement de la population, et le déficit devrait être de 4% entre 2022 et 2024. Malgré cette hausse, il reste largement en dessous des niveaux du lendemain de la crise : le déficit avait atteint 10% du PIB en 2009.
Pour 2014, le déficit budgétaire des Etats-Unis devrait être de 506 milliards de dollars, soit 170 milliards de dollars de mois que le déficit de 2013.
La crise économique de 2008 a eu toutefois un gros impact négatif sur la dette publique des Etats-Unis. La dette fédérale a atteint 74% du PIB et devrait atteindre 77% du PIB en 2024. Par rapport à 2007, la dette américaine a doublé.
Mais la croissance prévue par le Bureau du Congrès pourrait être la solution. Bien que cette année la croissance ne devrait être que de 1,5%, dès 2015 elle devrait atteindre 3,4% pendant quelques années avant de s’établir à un rythme de croisière de 2,2% par an entre 2018 et 2024.
