La semaine de l'éco du 14 octobre 2013



Jeudi 17 Octobre 2013
Paolo Garoscio

Panorama des principaux événements économiques de la semaine du 14 octobre 2013.


Lundi 14 octobre : Plus que trois jours avant la faillite des Etats-Unis

cc/flickr/asterix611
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Trois semaines que cela dure... et commence à inquiéter le monde entier. Ce week-end, le FMI a enjoint les Etats-Unis de trouver rapidement une solution à son problème de plafond de dette publique, que les républicains ne veulent plus dépasser sans accord sur le reste des dépenses publiques. Les ministres du G20 ont aussi chacun eu une petite phrase pour commenter la situation, essentiellement pour manifester leur inquiétude, mais également leur foi dans la capacité des élus démocrates et républicains à trouver ensemble une porte de sortie.

 


La Chine et l'Etat veulent entrer au capital de PSA-Peugeot Citroën

L'avenir de l'entreprise automobile française PSA Peugeot Citroën se joue actuellement dans les plus hautes sphères. La Chine et l'Etat pourraient bien devenir les principaux actionnaires du groupe et apporter près de 3 milliards d'euros de capital. Mais il reste encore des zones d'ombre à éclaircir avant que le feu vert ne soit donné, s'il est donné.


Mardi 15 octobre 2013 : L'Insee dévoile les chiffres sur les faillites d'entreprises en France

L'Insee dévoile qu'en France, au courant de l'été 2013, 13 000 entreprises ont fait faillite. Un nombre qui fait douter sur la reprise économique en France car il n'a jamais été aussi élevé depuis 1993.


Mercredi 16 octobre 2013 : La Suisse signe la convention internationale de l'OCDE en termes d'entraide fiscale

Une brèche de plus a été ouverte sur la fin du secret bancaire. La Suisse, un des rares pays qui ne l'avait pas encore fait, a signé la convention de l'OCDE sur l'entraide en matière fiscale. Ce n'est peut-être qu'une formalité, mais c'est également une surprise !

Jeudi 17 octobre 2013 : Les Etats-Unis trouvent un accord pour relever le plafond de la dette et éviter la faillite.

Après des jours et des nuits de tergiversations angoissantes au Congrès, on sait à présent que la première puissance économique mondiale ne fera pas défaut. Il aura fallu deux semaines de psychodrame à Washington pour relever, une énième fois, le plafond de la dette, afin que le pays puisse emprunter de l'argent et financer ses dépenses publiques, et pour s'accorder sur un projet de budget pour l'année à venir.





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